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Tôda Ichiro

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Tôda Ichiro» Admin ♦ Here for you
Tôda Ichiro
That's my job : Officier de police judiciaire
That's where I live : Muranaka
Juste une photo de toi : Tôda Ichiro WB5n8sY

Lun 25 Sep - 16:27


Tôda
Ichiro

Son prénom vient en réalité d'un très grand joueur de baseball : Ichiro Suzuki. Mais il n'est absolument pas fan de ce sport, il préfère les arts martiauxIl a baigné dans le droit et la justice depuis sa tendre enfance. Son père est policier. Sa mère est avocate Tous ceux qui le connaissent réellement diront qu'il est bizarre. Il a cette manie, même encore maintenant, de toujours observer discrètement les gens autour de lui et d'essayer de deviner ce qu'ils pensent. Il le fait aussi avec ses propres amis bien qu'il fait toujours en sorte à ce que ça ne se remarque pas La première fois qu'il est allé sur le terrain et qu'il a vu une personne victime de meurtre, il n'a pas été malade. Au contraire de ses nouveaux coéquipiers Lui-même se demande parfois s'il n'est pas fou. Il se remet beaucoup en question... Il a déjà franchi les limites une fois et il a plus que peur de les dépasser une nouvelle foisCe qui néanmoins ne l'empêche pas d'utiliser des moyens illégaux pour certaines de ses enquêtes, la plupart personnel. Il ne fait plus entièrement confiance en la loi

Carte d'identité

Lieu de naissance : Tokyo
Date de naissance : 20/06/1988
Âge : 29 ans
Nationalité/origines : Japonaise
Métier/etudes : Officier de police judiciaire
Situation amoureuse : Célibataire
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Groupe : Lost soul
Signe(s) distinctif(s) : Il a toujours un collier accroché autour de son cou et dont il ne se sépare jamais. Le pendentif représente une clé de sol et une note de musique
Célébrité : Yamashita Tomohisa


Observateur Impulsif CurieuxFidèle Mystérieux Bizarre FourbeCourageux Rancunier

Histoire

Ichiro n’était pas un enfant comme les autres. Pas du tout. Et si par cette phrase, on s’imaginait le mauvais garçon qui se rebellait en répondant à ses professeurs, qui cherchait toujours à se faire remarquer et qui se battait avec ses camarades de classe, on se trompait. Il ne faisait pas partie de cette catégorie non plus. Probablement que le qualifiait de « bizarre » aurait été plus adéquat bien que personne n’avait pu le remarquer aux premiers abords. Il n’était pas si différent que tout petit garçon, il s’amusait, rigolait, faisait des bêtises puis jouait dans la cours de récréation avec ses copains. Parfois, ça lui arrivait d’être plus idiots que les autres, d’embêter aussi les surveillants qui avaient toujours été sympathiques et attentionnés. Chacun d’entre eux se souciait des élèves comme s’ils étaient les leur et c’était vrai que tout le monde appréciait Ichiro. Il était curieux, un peu touche à tout, et même si comme tout garçon normal, il se chamaillait souvent avec les autres, il n’était pas méchant. Il n’avait jamais volé les jouets de ses copains, pas même leur goûter, il était plus de ceux qui avaient envie de trouver le voleur et de comprendre pourquoi ils se comportaient ainsi, pourquoi ils mentaient aussi alors qu’une simple vérité pourrait leur éviter une très grosse punition. Hors, même s’il trouvait le coupable, il ne les dénonçait jamais. Il ne faisait qu’observer, certainement encore trop petit pour saisir à quel point un crime, aussi infime soit-il, pouvait avoir des répercussions sur la vie d’un individu.

S’il n’était pas un enfant comme les autres, il ne provenait pas de n’importe quelle famille non plus. Sa mère était avocate quant à son père, il était un brillant policier. Ichiro se souvenait qu’à chaque fois qu’il rentrait du travail, il avait tout le temps des histoires passionnantes à lui raconter, des histoires que le garçon écoutait avec toujours énormément d’attention. Sûrement que ce n’était pas une éducation qu’on devait inculquer à ses enfants, qu’on aurait du le tenir loin des métiers respectifs de ses parents et ne jamais lui parler des « méchants que papa arrêtaient » et des « gentils que maman défendait ». Jamais, on aurait du laisser la télévision allumée avec des séries policières en pensant naïvement que le petit homme dormait... Parce que c’était cela qui avait fait d’Ichiro quelqu’un de particulier, quelqu’un de différent. Est-ce que ça avait été plutôt positif ou plutôt négatif ? A l’heure actuelle, personne n’aurait pu le dire. Pas même lui. Parfois il se disait que oui, parfois il se disait que non, vivre dans un monde plus innocent sans avoir conscience de toutes les atrocités qui se déroulaient autour aurait certainement été mieux.

En plus d’être observateur, d’étudier la moindre chose près de lui, le moindre individu, il était curieux, calculateur aussi. Il l’était devenu à cause des histoires contaient par ses géniteurs mais pas que, les séries et les films qu’il regardait en cachette ne l’avait pas aidé à enfouir sa curiosité. Une curiosité et une personnalité qui n’avait fait que s’intensifier à son entrée au collège. Capable de lire avec plus de facilité, de comprendre un peu plus le sens de la vie aussi, il avait très vite saisi que le « travail de papa » n’était pas que d’attraper les méchants, que c’était plus compliqué que cela et secrètement, il avait « emprunté » plusieurs fois les dossiers d’enquête que son père ramenait à la maison. Ca l’avait fasciné. Plus que ce qu’il n’aurait pu imaginer... Les images présentes sur les photos ne l’avaient pas choqué et plus que le convaincre de refermer les pages qu’il lisait, il n’avait fait que pousser sa curiosité encore et toujours plus loin. Le comportement des criminels l’intriguait, le faisait halluciner autant que le perturbait. Et il aimait ça : deviner ce qui avait pu leur passer la tête pour agir de la sorte, pour oser tuer sans le moindre remord, pour tuer à répétition et quels étaient leurs véritables objectifs. Ses propres camarades de classe, Ichiro avait commencé à les analyser discrètement, à les observer puis à s’interroger sur eux, en arrivant au point de se demander lesquels d’entre eux pouvaient potentiellement être des meurtriers ou non. Un trait de caractère qu’il camouflait parfaitement par une attitude plus désinvolte, plus détachée, plus idiote aussi et ainsi, personne ne devinait ce qui lui traversait réellement l’esprit. N’importe qui pouvant lire dans ses pensées à l’époque l’aurait sûrement envoyé rapidement chez un psy, par peur de ce qu’un tel garçon pourrait devenir...

Toutefois, ceci n’avait pas paru inquiéter son père, pas même sa mère. Le jeune homme, dévoré par la curiosité, n’avait pas hésité à interroger ses parents. En premier lieu, son géniteur avait été choqué que son fils ait pu lire ses enquêtes mais plutôt qu’en être terrifié, il avait pris ça comme une envie de son garçon à suivre la même voie qu’eux : celle de la justice. Le pourquoi il avait toujours répondu à chacune de ses questions avec honnêteté, omettant parfois certains détails cependant  il ne mentait jamais. Et si derrière ses interrogations étranges, Ichiro pouvait paraître inquiétant, principalement à être autant fasciné par les actes des criminels, il n’en était rien. Il avait malgré tout conscience qu’ils n’étaient pas des bonnes personnes, que ce qu’ils faisaient ne devraient pas avoir lieu d’exister et qu’ils devraient être punis par la loi. Les victimes n’avaient jamais demandé à mourir aussi lamentablement et aussi soudainement...

Sa voie était ainsi toute tracée. Déjà au collège le jeune homme savait ce qu’il voudrait faire de son avenir. La raison pour laquelle après avoir obtenu son diplôme du lycée haut la main, il était entrée à l’université pour étudier les sciences criminelles ainsi que le droit. Son souhait était de devenir profiler, psycho-criminologue... Ce qui n’était pas étonnant lorsqu’on connaissait qui il était, cette fascination qu’il avait à toujours tenter de discerner les désirs des criminels, le pourquoi, le comment...
Néanmoins, contre toute attente, à cause de la crise mais aussi, très certainement à cause de son père, Ichiro n’ait jamais allé au bout de ses études, il a abandonné en plein milieu, à l’âge de vingt trois ans. Si sa mère ne lui avait jamais tenu rigueur de son choix d’étude, pour son géniteur c’était différent. Il le lui avait toujours reproché, souhaitant qu’il suive le même chemin que lui puis gravie les échelons dans la police. Ce n’était pas spécialement qu’il était contre les décisions de son fils, c’était juste que selon lui, un vrai « policier » allait sur le terrain, il combattait à l’extérieur et se battait corps et âme pour arrêter les meurtriers. Il ne se basait pas sur des statistiques ni sur des hypothèses... Surtout que des hommes tels que ces gens là ne méritaient pas à ce qu’on s’intéresse autant à eux. Une manière de penser que le garçon avait toujours respecté et qu’il comprenait...

Alors oui, il avait tout arrêté. Parce qu’il appréciait son père, qu’il était assurément l’homme qu’il admirait le plus sur cette Terre et qu’avec la crise qui ne cessait de s’amplifier, probablement que ça ne serait qu’une perte du temps de continuer les études alors qu’on avait besoin de main d’œuvre sur le terrain. Et cela ne signifiait pas que du poste où il serait, il ne pourrait pas étudier les cas des criminels. Au contraire. Il serait directement dedans et même si ça ne serait pas sa tâche principale, ses connaissances l’aideraient dans ses enquêtes.
Il était intelligent, toujours aussi observateur et attentif et bien qu’il s’amusait à faire l’idiot parfois, à la différence d’auparavant, ses collègues savaient de ce dont ce jeune homme était capable. Très vite, on lui fit confiance, lui donnant des enquêtes de plus en plus importantes qu’il avait toujours su résoudre. Et c’était vrai... Plus il avançait, plus il prenait conscience des paroles de son père. Certains meurtres étaient des plus horribles, des plus dramatiques aussi... Lui-même en était arrivé au point qu’il ne comprenait pas pourquoi on tuait des personnes aussi innocentes. Sa fascination qu’il avait pour les criminels avait disparu, laissant de plus en plus place à une profonde haine et du dégoût. Non, ils ne méritaient pas à ce qu’on leur accorde une quelconque importance... Ils ne méritaient que de croupir et périr en enfer. Certains cas lui avaient donné à plusieurs reprises froid dans le dos, constatant qu’en en effet, tous n’étaient que des malades mentaux et que même si la criminologie était capable de cerner leur comportement, que c’était nécessaire pour trouver le véritable coupable, ça n’excusait jamais les actes commis.

En si peu de temps, Ichiro en avait déjà vu beaucoup et pourtant, il était jeune... Etait-il vraiment prêt à affronter une telle vie ? Il n’aurait pu le dire. N’aurait-il pas eu la même réaction s’il avait été plus âgé ? Il y avait eu cette enquête qui l’avait terriblement marqué... Une jeune fille avait osé mettre toute sa honte de côté, elle avait osé se montrer courageuse puis malgré les horreurs qu’elle avait subi, elle était venue porter plainte. Comme nombreuses femmes de nos jours, elle s’était retrouvée agresser sexuellement. Son visage était déconfit, très pâle, rougit par les larmes de honte qu’elle avait du laisser couler pendant des jours et des jours... Il se souvenait de sa voix emplie d’émotions lorsqu’elle avait fait sa déposition, il se souvenait de ses petites mains frêles qui tremblaient alors qu’il lui demandait d’expliquer en détails ce qu’elle avait subi. Il se souvenait aussi de ses gouttes qui déferlaient le long de ses joues blêmes et il se souvenait des supplications qu’elle n’avait cessé de lui répéter, souhaitant à tout prix faire payer à cet homme l’humiliation qu’il lui avait fait subir. S’il avait abusé d’elle, il avait pu le faire à d’autres et oui, elle avait parlé au nom de toutes ces femmes qui effrayée avait préféré rester silencieuse. Sauf que non... Sa déposition n’avait jamais abouti. Le violeur avait été amené devant la justice, elle avait du témoigner aux yeux de tous et parce qu’il était haut placé, parce que c’était la crise, qu’il avait de l’argent, cette « enflure » s’en était sorti sans une trace sur son casier judiciaire. Et toute cette injustice, c’était vraisemblablement une chose que ses parents avaient oublié de lui enseigner quand il n’était qu’un enfant. On ne lui avait jamais dit que parfois il y avait des individus que quoi qu’on fasse, peu importait notre détermination, ils étaient intouchables. Le gouvernement était de leur côté alors on étouffait l’affaire puis on disait que malheureusement, on n’y pouvait rien. Quel aberrance.

Fou de rage, le jeune homme n’avait guère pu se contrôler et n’avait pas hésité à balancer ses quatre vérités à son supérieur qui lui, même s’il saisissait sa colère, n’était pas assez puissant pour changer quelque chose. Il n’était qu’un pion de la société, il pensait agir pour le bien sauf qu’au bout du compte, les pires ordures, il n’était pas capable de les enfermer derrière les barreaux.
Et pour ne pas l’aider à se sentir mieux, Haruka, la victime, n’avait pas réussi à supporter toute cette infamie. La jeune fille avait tenté de mettre fin à ses jours, et bien qu’elle s’en soit sortie, elle était dans le coma aujourd’hui. Personne ne pouvait dire si elle finirait par rouvrir les yeux ou non... Ichiro a toujours gardé cette histoire dans un coin de son coeur, profondément marqué par cette demoiselle qu’il aurait tout donné rien que pour la protéger mais qu’on avait piétiné sans arrêt, encore et encore. Chaque jour, après le travail, il passait à l’hôpital pour lui rendre visite, pour lui parler, non pas sans lui jurer qu’un jour arriverait et que cet homme finirait par payer de ses crimes.

Sincèrement, il n’avait pas pensé à mal en lui disant cela, il continuait à combattre le crime, il n’avait jamais arrêté cependant... Tout avait changé ce soir où il l’avait recroisé. La nuit était tombée depuis longtemps sur la capitale et il aurait tout donné pour lui arracher la face. Rien que de le voir avait fait renaître en lui toutes ses émotions haineuses qu’il avait durement essayé d’enterrer. Il comptait l’ignorer, rester raisonnable, jusqu’à ce que cette ordure n’ose le regarder et lui adresser un sourire des plus sarcastiques. Un sourire qui représentait tellement à ses yeux et principalement la fierté de cet homme d’avoir eu ce qu’il désirait. Ca avait été la goutte de trop... Incapable de se contrôler, Ichiro s’était jeté sur lui, le balançant dans une rue déserte pour le cogner comme il ne l’avait jamais fait auparavant. Il allait le tuer. Si la justice n’était pas en mesure de punir convenablement, alors il le ferait. A cet instant là, il n’avait pensé à rien... Il n’avait pensé qu’à cette fille inconsciente dans ce lit d’hôpital et qu’on avait réduit plus bas que terre juste pour satisfaire des pulsions personnelles.

L’homme n’avait jamais cessé de rire tandis qu’il se faisait frapper, songeant certainement qu’il s’en sortirait, que le plus jeune n’irait jamais plus loin à cause de son statut d’officier de police judiciaire. Il en avait douté au moment où Ichiro avait sorti son revolver pour le pointer devant lui alors qu’il était assis à terre, occuper à s’essuyer le sang sur son visage. Le pire dans cette histoire était que non, le garçon n’avait pas hésité, pas même une seconde, à appuyer sur la gâchette. Il n’avait réalisé son geste qu’après avoir vu le corps inerte de son vis-à-vis étendu sur le sol et cette flac rouge qui s’écoulait de sa tête. Ce fut un terrible choc.
Il n’avait pas réfléchi, le coeur battant, les mains en sang, il s’était enfui, courant le plus rapidement possible jusqu’à l’endroit où il avait le plus confiance. La maison de ses parents. Paniqué, affolé, il n’avait pas su trouver les mots pour expliquer la situation mais son père avait aussitôt compris. Il l’avait aidé à se nettoyer, à se changer et à tenter de se calmer.

Evidemment que si on apprenait ce qu’il avait fait, il irait en prison et dans le fond, Ichiro était prêt pour ça, il était prêt à payer pour son crime. Il avait toujours pensé que donner la mort à un criminel en guise de punition ne ferait pas de lui une meilleure personne que ce dernier. Il avait commencé à tout remettre en question, à se demander s’il n’était juste pas fou et bon à interner au vue de ses réflexions qui n’avaient pas toujours été saines. Et paradoxalement, il n’était pas certain d’être prêt à affronter la vie enfermée... Il avait tué un homme, oui. Mais, pourquoi lui devrait être emprisonné alors qu’une ordure pareille avait eu le droit de courir dans la nature ?

Son père ne lui donna pas le conseil qu’un bon policier devrait normalement donner toutefois plus que de se dénoncer, il lui ordonna de s’enfuir, de quitter le pays. Dans ces temps de crise, ce serait plus simple pour lui de s’échapper, de passer outre cet incident et de refaire sa vie ailleurs. Ainsi, il lui parla de Gensou, cette île paradisiaque et légendaire qui ne jugeait personne, une île sur laquelle on pouvait repartir de zéro, prendre un nouveau départ... Il lui conseilla de changer son nom, juste au cas où, cependant le garçon le refusa. Un jour ou l’autre, il devrait payer le prix de son crime et idiot, ou suicidaire - voir les deux - il ne voulait pas vivre sous l’identité d’un autre. Si on venait le chercher et qu’on l’enfermait, il ne riposterait pas. Il avait mal agi... Comme n’importe qui d’autre, il devrait être jugé et emprisonné. Hors, s’il pouvait l’éviter, alors oui, il sauterait sur l’occasion... La raison pour laquelle, la peur au ventre néanmoins, il était monté sur le bateau en direction de Gensou. Il n’était âgé que de vingt six ans et le voilà à présent marqué à vie de cet acte que lui-même avait commis. Il n’oublierait jamais cette image. Il n’oublierait jamais l’expression sur le visage de sa victime lorsque la balle s’était infiltré dans sa tête. Il n’oublierait jamais cette sensation qui l’avait accaparé avant qu’il ne réalise ses gestes. Et ça le terrifiait. Puisque au plus profond de son être, il avait voulu le tuer. Il avait voulu lui faire mordre la poussière et non, ce n’était normalement pas l’homme qu’avait l’habitude d’être Tôda Ichiro.

Voilà pourquoi, une fois sur l’île, ayant repris malgré tout le travail qu’il exerçait auparavant, il tentait de mettre des distances entre sa vie privée et les enquêtes qu’il élucidait. Il avait trop peur de ce qu’il pourrait faire si de nouveau il laissait une histoire le toucher aussi brutalement que celle-ci... Néanmoins, une chose qui avait changé chez lui comparé à cette époque là, était qu’il ne se contentait pas uniquement des dossiers qu’on lui donnait, il enquêtait sur tout. Ce n’était pas parce que l’île était réputée comme parfaite qu’elle n’avait pas ses défauts. Hors de question de laisser qui que ce soit prendre le risque de détruire cette paix qui y régnait, hors de question de laisser les personnes hauts placées gagner et avoir raison de tout. Alors oui, il enquêtait de son côté, discrètement, et même si c’était interdit, il le faisait quand même... N’hésitant pas à utiliser des moyens illégaux parfois. Parce que même si c’était contre la loi, l’expérience lui avait appris que celle-ci n’était pas maîtresse de tout et que malheureusement, si on voulait gagner, il fallait la contourner.
 


Pseudo : Lauly
Âge : 24 ans
Présence : 5/7
Un petit mot ? : love youu ~
Tôda Ichiro
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