Il porte des lunettes pour lire, et parfois pour écrire. Quand il a envie de les mettre • La maladresse n'est pas un défaut mais une qualité très bien cachée • Il adore les Disney • Il lui arrive de sortir faire la fête mais seulement après avoir fait ses devoirs, et doit téléphoner à Ryota plusieurs fois dans la soirée • Il adore les fruits • Il écoute souvent de la musique. Surtout pour travailler. Ca l'aide à se concentrer • Il est allergique au pollen • Il adore lire. Des mangas, des romans, jusqu'aux ingrédients sur sa boîte de céréales • Il vit avec son frère, et est plus proche de lui qu'avant. Ryota est un vrai "papa-poule" • Ils ont adopté une chienne, un berger australien - Blue - qui a un an et demi • Il a tendance à pousser la chansonnette dans son bain. Et d'après Ryota, il a une belle voix • Il sait jouer du piano et un peu de guitare • Il se pose un peu trop de questions existentielles (sérieusement, qui est venu en premier, l’œuf ou la poule ?) • Il garde le sourire pour Ryota, mais regrette tous les jours de ne pas avoir réussi à aller jusqu'au bout • La natation était sa passion. Maintenant il n'en fait plus. Il n'arrive même plus à aller au bord d'une piscine • Il adore courir, jouer au basket ou le tir à l'arc • Il n'a jamais connu son père • Il ne parle à personne de ce qu'il a vécu. Il a trop peur qu'on le traite encore une fois de menteur • +++
Carte d'identité
Lieu de naissance : Chiba, Japon Date de naissance : 18/11/1994 Âge : 23 ans Nationalité/origines : japonaises Métier/études : Etudes en lettres / caissier dans un konbini Situation amoureuse : Célibataire Orientation sexuelle : Bisexuel Groupe : Hide & Seek Signe(s) distinctif(s) : Des cicatrices aux poignets, preuve de sa tentative, mais qu'il cache toujours sous plusieurs bracelets + Célébrité : Gong Chan [B1A4]
Ha. Il n'avait pas prêté attention à cette statue dans le fond. C'était quoi ? De l'art abstrait ? Il pencha exagérément sa tête sur le côté. Très abstrait alors. « Tu es venu pour parler non ? ». Oh. Bonjour madame. Redressant son visage, il planta son regard dans le sien, un sourire désolé parcourant sa bouche. Il l'avait presque oubliée. Il frotta doucement ses mains sur ses cuisses, ses lèvres se pinçant fébrilement. « Tu peux tout me dire ». Le pouvait-il vraiment ? Pouvait-il tout raconter ? Allait-elle le croire ? Ou allait-elle le traiter de menteur, comme sa propre mère ? « N'aies pas peur. Raconte-moi tout depuis le début »
Y avait-il un vrai début à son histoire ? Oui. Bien sûr. Il y avait toujours un début, même à la fin.
Aoki avait grandi avec sa mère, et ses deux grands frères, Mitsuo et Ryota. Mitsuo avait 6 ans de plus que lui, et Ryota 4. Et dans le tableau il y avait un père aussi – sinon il ne serait pas là. Mais il ne l'avait jamais vu. Il était trop jeune quand le paternel de l'assemblée avait décidé de quitter le foyer. Il ne savait même pas à quoi il ressemblait. Des photos ? Il n'en avait vu que très peu. Les seules qui étaient passées sous son nez avaient été trop pliées pour qu'il distingue quelque chose. Bien sûr, l'absence d'un père n'eut pas de vraies conséquences sur son évolution. Il n'en avait pas, il n'en avait pas. Il passait à autre chose. Il avait une mère et deux frères et c'était tout ce qui comptait. En parlant de ses frères, et ce n'était un secret pour personne, mais il adorait Mitsuo. Non. C'était même plus que cela. Il l'admirait plus que tout. Il ne saurait réellement expliquer mais c'était ainsi. Il l'avait toujours regardé de sa petite taille. Il l'avait toujours observé. Il l'avait toujours trouvé sensationnel. Il était fort, grand, intelligent. Il était sage, sérieux mais drôle. Il était ce type énervant, qui avait toujours une belle coupe de cheveux peu importait le temps qu'il faisait. Il était ce type énervant, toujours entouré, toujours soutenu. Il était son grand frère et il en était fier. Il adorait Ryota aussi, mais ce n'était pas pareil. Pour Mitsuo, c'était de l'admiration pure et dure. Ce n'était pas des « un jour je serai comme mon père ! » mais plutôt des « quand je serai grand je serai comme Mitsuo ! » plein de rêves et de convictions. Et Mitsuo avait une passion. La natation. Personne ne fut étonné quand Aoki officialisa son intérêt pour l'eau en rejoignant le même club local que son grand frère. Il n'avait alors que 8 ans.
Et il voulait suivre les traces de son aîné. Devenir un bon nageur, comme lui. Devenir quelqu'un que l'on pouvait admirer, comme lui. Il marchait dans ses pas au centimètre près. Au sens propre comme au sens littéral. Quand il marchait derrière lui, ses pieds se posaient là où ceux de son frère avait frôlé la terre. Etrange, oui. Mais Aoki était un bambin énergique et plein d'entrain. Il était ce gamin joyeux qui souriait à la vie comme aux gens. Il était bavard, mais pas trop non plus. Il avait le rire facile et la larme presque inconnue. Il avait cette franchise innocente et cette curiosité sur le monde, posant plus de questions qu'il ne le devrait. Pourquoi ci ? Pourquoi ça ? Mais pourquoi ? L'on pouvait même dire qu'il s'intéressait à tout. Un rien le passionnait. On pouvait l'occuper avec une feuille et un stylo pendant des heures. Il n'était pas difficile. Mais pas facile tous les jours non plus. Bref, il était un enfant unique aux agissements identiques des autres.
Aoki s'entraîna sans relâche après son entrée dans le club. Son espoir était toujours le même. Il devenait plus grand de jour en jour. Son envie d'être la copie conforme de son frère était un but qu'il s'était obligé à atteindre. Son admiration pour lui ne faisait que grandir, elle ne s'arrêtait même plus, comme si elle ne connaissait pas les limites. Et lui continuait de s'entraîner. Sans arrêts. Le temps libre qu'il avait, il le passait au club – toujours après avoir fait ses devoirs bien entendu. Il était passionné, d'accord, mais studieux surtout. Parfois il avait mal. Parfois il n'y arrivait pas. Parfois il était frustré. Parfois il était attristé. D'autres fois il réussissait. D'autres fois il y parvenait. D'autres fois il gagnait. Mais jamais il ne baissait les bras. Têtu, il voulait y aller. Hors de question d'abandonner. Abandonner, ce n'était pas pour lui. Et ce fut comme si la vie elle-même voulait que le petit Aoki devienne grand. Comme si elle voulait qu'il grandisse soudainement et qu'il accentue ce niveau pourtant bien élevé. Un nouveau coach était arrivé, Nakamura Noburo. A ce que l'on racontait, il avait entraîné de grandes équipes. Et il venait ici. L'on pensait d'abord à un simple recruteur, quelqu'un qui viendrait puis s'en irait aussi vite qu'il était venu. Mais non. Ce coach resta. Et il poussa ces nageurs au bout. Il était doué, mais en même temps comme il le disait si bien, c'était son métier. Et il entraînait particulièrement Aoki. Il avait vu son niveau prometteur, qu'il disait. Il passait beaucoup de temps avec lui. Il le forçait, parfois, à donner plus que ce qu'il ne pouvait. Mais c'était pour son bien. C'était pour son avenir. Et quel brillant avenir il lui traçait... Ca en aurait fait rêver plus d'un. Et Aoki, ce grand rêveur, y croyait. Il voulait obtenir ce rêve-là. Alors il s'entraînait. Beaucoup. Trop peut-être dirait-on. Hors personne ne cherchait à l'en empêcher. Trop déterminé, Aoki n'entendait rien. Il voulait obtenir ce qu'on lui louait, cette illusion merveilleuse qu'on lui décrivait. Et s'il pouvait y arriver, il le ferait. Il s'en donnerait les moyens. Grâce à Noburo, Aoki eut le plaisir de voir que son niveau ne faisait que grimper. Encore. Toujours. Il surpassait peu à peu ses aînés, et se rapprochait de plus en plus de Mitsuo. Il y avait ce rêve, oui, mais il devait d'abord devenir l'égal de son aîné. Personne n'aurait pu deviner qu'il deviendrait aussi bon en aussi peu de temps. La surprise fut remplacée par les encouragements ou la jalousie. Mais cela n'arrêtait pas Aoki. Jamais.
Noburo était apprécié par les nageurs. Mitsuo surtout. Il voyait en lui ce père qui était parti. Ce père qui avait fui le domicile familial pour aller mener une autre vie, ailleurs. Sa mère le voyait comme une personne formidable. Il était admirable, aussi, dans l'intérêt qu'il portait constamment pour le club et ses nageurs. Ryota lui... s'en fichait un peu. Beaucoup même. Il n'appréciait pas le coach et le faisait savoir. Alors lorsqu'il était à la maison, il passait la plupart de son temps loin de lui. Soit il allait dans sa chambre. Soit il sortait. Mais il restait rarement dans la même pièce. Tout se passait bien. Tout se déroulait sans encombres. Et c'était peut-être ça le souci. Tout se passait trop bien. Cela ne pouvait pas durer, pas vrai ?
Un soir, après l'un de ses nombreux entraînements, Aoki écoutait les conseils du coach, y prêtant grandement attention, hochant la tête à chaque fin de phrase. Et ce soir-là, le coach s'approcha, mimant avec le corps du plus jeune les mouvements qu'il devait exécuter. Rien d'anormal. Rien d'angoissant. Sauf quand les gestes devinrent un peu plus poussés et les mains plus exploratrices. Aoki n'y connaissait pas grand chose à la vie, au rapport qu'il devait avoir les autres, mais il savait qu'un adulte ne devrait pas le toucher de cette manière. Il avait 11 ans. Perturbé, il avait parlé à sa mère dans les jours suivants. Il n'avait pas osé, d'abord, puis s'était dit que ça le chagrinait, il ferait mieux d'en parler à sa maternelle. Après tout, elle pourrait comprendre et lui expliquer. Peut-être avait-il mal compris ? Alors il se confia. Il raconta à sa mère la manière dont Noburo l'avait touché. Bonne idée penserait-on. Mauvaise idée, en réalité. Elle ne le crut pas. Pas un seul. Pas une seule seconde. Chaque mot prononcé fut remis en question. Chaque souffle qu'il avait lâché était pointé du doigt. Il fut traité de menteur et elle lui conseilla d'arrêter de raconter des bêtises. Il n'en dit pas plus et s'en alla.
La seconde fois que ce genre de gestes à son encontre le perturba, il alla se confier à un professeur. Il n'osait plus en parler à sa mère et n'osait même pas évoquer le sujet avec ses frères. Un professeur, c'était une bonne écoute, après tout. Et il se confia. Une nouvelle fois. Décrivant ce que Noburo faisait, les gestes qu'il effectuait. L'enseignant lui dit de ne pas s'inquiéter, qu'il allait en discuter avec le coach et qu'il reviendrait le voir ensuite. Et quand il revint le voir, ce fut pour entendre qu'il ne devait pas mentir. On l'accusait, encore.
A partir de ce moment-là, dès que ce genre d'attouchements arrivaient, Aoki ne disait plus rien. Il n'en parlait à personne. Parce que personne ne voulait le croire. Il tenta d'aller voir Ryota, un jour, mais le voyant trop occupé dans ses études, il ne put rassembler le courage nécessaire pour lui parler. De plus, l'impression d'être à nouveau traité de menteur s'y ajouta. Tant pis. Il s'était contenté de rester à côté de lui pendant que le coach discutait joyeusement avec Mitsuo et sa mère dans le salon. Il s'était contenté de rester silencieux. Et ce silence aurait dû éveiller des soupçons. Ce silence était tellement fort, tellement puissant que l'on aurait dû entendre. Mais personne ne l'entendit. Personne n'y fit attention.
Aoki ne disait plus rien. Il manquait parfois les entraînements. Il s'échappait dans sa chambre quand le coach venait à la maison. Et personne ne semblait réellement s'en souciait. Mitsuo n'y faisait pas attention. Sa mère ne semblait pas plus attachée à ce fait-là. Seul Ryota avait remarqué. Mais se sentant toujours en dehors de tout, il préféré ne pas demander. Puis le jeune adolescent retourna à l'entraînement un peu plus souvent. Sa passion pour la natation restait bien trop grande pour qu'il puisse la mettre de côté. Il faisait simplement le maximum pour éviter le coach. Il sentait parfois son regard sur lui et même si ça le perturbait, il continuait de sourire. A quoi bon ?
Vint alors un soir, en août 2006. La journée avait été longue, et chaude. Les nageurs avaient pu profiter de la piscine plus longtemps que d'habitude. Aoki s'était baigné pratiquement toute la journée. Pour le plaisir mais aussi pour parfaire sa nage. Il ne voulait pas gâcher son rêve à cause d'un malentendu ou d'un mensonge qu'il aurait pu dire. Et ce soir-là, Aoki se retrouva soudainement seul dans les vestiaires. Les autres étaient partis, et Mitsuo aussi. Son aîné l'attendait rarement, pour une raison qu'il ignorait. En sortant de la petite bâtisse, il tomba nez à nez avec le coach. Coach qui lui proposa de l'emmener chez lui. Ce qu'il refusa. Il préférait marcher qu'il justifia. Coach qui insista. Et Aoki le contourna. Il avait peur, tout d'un coup. Il voulait rentrer. Il devait rentrer.
Il ne rentra jamais. Il fut emmené à Wakkanai, au nord du Japon, loin de chez lui. Sa seule compagnie était Noburo. Triste compagnie. Sombre compagnie. Il était retenu prisonnier, attaché dans une pièce que l'homme mûr définissait comme étant sa chambre. Attaché comme un vulgaire détenu à des chaînes trop serrées pour lui. Attaché là, comme un pantin dont Noburo disposait comme il le voulait, et quand il le voulait. Souvent, il souhaitait mourir. Souvent, il souhaitait s'échapper. Souvent, il pleurait. Même à bout de force, les larmes coulaient toutes seules. Le temps passa. Les traumatismes s'ancrèrent un peu plus dans sa chair, dans son esprit. Le temps passa. Et lui restait attaché, n'étant qu'un objet devant obéissance à l'homme qui le retenait. Le temps passa... Il avait 12 ans.
Et trois années passèrent ainsi. Trois longues années. Noburo, trop avare sans doute, fut la seule erreur de toute cette mise en scène. Il kidnappa un autre enfant dans la région. Il n'avait pas pu se retenir. Et même s'il disait offrir un compagnon à Aoki, cela ne le rassurait pas vraiment. Les premiers jours l'autre ne faisait que pleurer, crier, implorant ses parents de venir le chercher. Aoki se contentait de le regarder en silence. L'autre essayait de fuir, de briser les chaînes. Aoki se contentait d'attendre. Epuisé, lassé, brisé. La mort viendrait peut-être le récupérer. Mais kidnapper cet enfant, dont Aoki avait totalement oublié le prénom – et il ne savait pas s'il l'avait su un jour – fut son erreur. Ne pas fuir tout de suite fut la seconde. La police était sur ses traces. En à peine une semaine, ils l'avaient pisté Noburo. Il ne restait plus qu'une solution alors. S'échapper. Il essaya du moins. Mais n'y parvint pas. Sa course fut stoppée nette à Sapporo. Aoki était enfermé dans le coffre de sa voiture. L'autre gamin avait été abandonné un peu plus tôt sur la route, mort. Il avait été trop bruyant, apparemment. Et le silence qui entoura Aoki quand les policiers le trouvèrent fut de plomb. Ses lèvres étaient scellées. Ses yeux ne pleuraient pas. Son visage n'exprimait rien. Il avait 15 ans.
Le retour chez lui fut difficile. Tout avait changé. Plus rien ne lui semblait comme avant. Sa mère ne le regardait pas en face, elle n'arrivait même pas à lui parler sans bafouiller ou s'en aller. Mitsuo ne lui adressait tout simplement pas la parole. Le seul présent était Ryota. Le seul qui s'occupait de lui. Le seul qui était là, qui restait là. Le seul qui lui changeait les idées, qui lui parlait, qui lui souriait. Le seul qui l'aidait à s'adapter. Qui lui apprenait des choses. Dans la même année, Mitsuo déménagea, partant pour Fukuoka. Il ne le revit plus jamais après cela. Et sa mère ? Il ne la voyait pas. Elle l'évitait. Elle se sentait trop coupable d'avoir laissé une telle chose arriver à son enfant. Aoki lui se sentait rejeté, encore une fois, par sa propre génitrice. Il se sentait sale. Tellement sale... Il était épuisé. Il était cassé. Quelque chose s'était figé. Quelque chose s'était fissuré. Il ne parlait plus beaucoup. Plus ne l'intéressait. Ni la natation, ni les livres, ni la vie. Vie qu'il tenta d'arrêter. Il n'en pouvait plus. Il voulait s'arrêter. Il ne pouvait plus respirer. Il ne voulait plus respirer. Une lame, pensa-t-il, et le tour est joué.
Malheureusement pour lui, il n'y arriva pas. Ryota le trouva juste à temps. Il fut emmené à l'hôpital et soigné. Il fut conduit chez des psychologues il restait silencieux. On lui demanda de témoigner, il resta muet. Et Ryota était toujours là. Mitsuo ne donnait plus de nouvelles. Sa mère... était juste absente. Elle partait mais ne revenait qu'après plusieurs jours. Et quand la crise arriva, ce fut pire. Elle partit complètement. Il ne savait pas où elle était allée. Il prenait cela comme un autre rejet. Son frère resta à ses côtés. Il abandonna ses études, pour lui. Et puis de toute façon, avec la crise, le cœur n'y était plus. Il abandonna tout le reste et se consacra à Aoki. Il trouvait de l'argent où il le pouvait. Juste assez pour survivre. Juste assez pour passer la journée, la semaine, le mois.
Cela dura deux ans. En 2012, les deux frères quittèrent le Japon pour Gensou. Ils ne savaient pas ce qu'ils les attendaient là-bas mais Ryota voulait lui offrir le meilleur. Et il était persuadé que ce meilleur se trouvait sur cette île. Aoki le suivit simplement sans poser de questions. Peu importait où il allait, la douleur était toujours là.
Ryota continua d'être ce qu'il était. Il devint même plus. Il n'était plus un frère, mais un père. Toujours là pour lui. Toujours présent. Il le réconfortait, le rassurait et le motivait. Il donnait tellement de sa personne. Il donnait tout, pour Aoki. Et Aoki en avait assez de le voir se ruiner à cause de lui. Il ne méritait pas autant. Il voulait qu'il pense à sa vie, à lui. Il ne supportait pas qu'il s'inquiète autant pour lui. Alors il se força. Sourire. Rire. Parler. Il se força. Profiter. Danser. Chanter. Il se força. Tous les jours un peu plus. Jusqu'à en arriver à parfaitement maîtriser ce masque qu'il portait. Un sourire pouvait cacher tellement de choses. Le sien cachait son passé. Passé dont il ne parla jamais. Pas même à Ryota. Il n'était qu'un menteur après tout, non ?
« Hum. Oui. Alors en fait non », qu'il déclara dans un haussement d'épaules. La curiosité l'avait amené, et sa légère naïveté lui avait fait croire qu'il pourrait tout raconter. A un inconnu, c'était toujours plus simple. C'était ce que l'on disait. En réalité c'était tout aussi compliqué. « Bonne journée. C'était sympa ! », il se leva, « … Je suis quand même obligé de payer ? »
Pseudo : Chonchon Âge : Un quart de siècle haha Présence : 7/7 Un petit mot ? : Voilà la petite bouille et le personnage qui vont remplacer Liam haha (j'suis faible vous pouvez pas imaginer à quel point jpp)
That's my job : Etudiant en photographie mais également serveur dans un restaurant pour payer ses études. Il travaille aux côtés d'un photographe professionnel en tant qu'assistant stagiaire et il lui sert de temps en temps de mannequin quand il ne trouve personne ou que le photoshoot correspond.
That's where I live : Uetani.
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Sam 6 Jan - 15:30
voilà jtaime quoi vivement que t'écrives l'histoire, bonne chance pour ça d'ailleurs, JE TE SOUTIENS. rebienvenu
(comment ça trop de smiley ? ça existe pas ça. )
Yamazaki Haruka» Completely in love of Kei, c'est pas sain !
That's my job : Policier ( Je suis aussi sexy qu'Ichiro en tenue ne vous en faites pas )
That's where I live : Sous les ponts !! Non bien sûr que non.. J'ai un appart accessoirement mais je suis plus souvent chez Kei
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Sam 6 Jan - 15:37
C 'est l'histoiiiire de la viiiiiiiie , le cycle éterneeeeeeeeeeeeeeeeeeeeellllll !!!!
Tu sais quoi ? T'es beau. T'es genre le top moumout !!! J'ai un gros problème avec tes perso j'ai tous envie de les bichonner jusqu'à ce qu'il m'aime xD :hug: En tout cas moi j'aimais bien l'histoire du monsieur qui est venu.. puis il est parti xDDD
Mais c'est un amour ce petit !!!! OMG Je peux t'aimer ? Genre ... voilà voilà tu le vois venir mes 36 COMPTES ? ? ? XDD
Bonne chance pour l'histoire je suis sûre que ça va être du tonnerre de ZEUS
That's my job : Etudiant en danse, assistant photographe de jour et barman la nuit
That's where I live : Tadanashi
Sam 6 Jan - 15:38
Bisexuel hein .... So bah reuh du coup Très très bon choix d'avatar , je suis ravie que tu te sois arrêté sur l'un des membres de ce super groupe. Hâte de lire ton histoire, même si je la connait dans les grandes lignes
That's my job : Etudiants en lettres + caissier dans un konbini
That's where I live : Juhei
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Sam 6 Jan - 15:55
Haneul > omg une attaque de smileys !!! c'est bien coloré d'un coup jpp xD Moi aussi j't'aime haha :hug: ... Tu m'as rendue faible ... Je vais me pencher sur l'histoire fufufu j'espère que ça te plaira !
et merciiiiiiiiiiiii
Haru > t'es tellement chou jpp viens on va chanter des Disney ensemble ** Awww fufu merci ~ toi aussi t'es beau (non mais ses bras quoi) Haha c'est un problème en effet XD je sais pas si c'en est un bon ou un mauvais ? mais vas-y, bichonne les tous hahaha
Ha cette histoire... elle était tellement belle *meurt*
AIME MOI *pan* HAHAHA j'te dis on va polluer le forum jpp XD
Merci chouuuuuuuu
JTM
Nao > ... huhu, oui
Merciiiiiiiiiiiiiiii ~ C'est Haneul qui m'a tendue l'avatar, c'est sa faute si je suis faible (faut bien que ce soit la faute de quelqu'un)(Haneul, tu dois assumer) Je l'ai un peu modifiée son histoire, j'espère que tu l'aimerais quand même :3
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Sam 6 Jan - 16:06
Je suis tellement contente de t'avoir rendu faible de Gongchan tu peux pas savoir. J'ASSUME TOTALEMENT MA FAUTE ET J'EN SUIS FIÈRE.
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Sam 6 Jan - 18:38
Bien sûr entre ce rêve bleu et le roi lion on est loin d'avoir fini ** Embarquons pour le monde magique !! hahah mais ... non quand je regarde l'avatar y a un petit cri aigu qui s'échappe xD ( look ses bras vas y c'est tout pour toi )
Moi je dis c'est un bon problème !! mais tu vas finir par en avoir marre de moi T_T ouiii bichonnage !! :hug: *
MAIS CETTE CHUTE !! LA BEST histoire EVER !!
ON VA S AIMER !! Sur une étoile ou sur un oreillerrrrr Non mais grave xDD Pauvre forum je suis désolée ... je vais l'envahir de ma licorne panda !! xD
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That's where I live : Juhei
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Sam 6 Jan - 18:46
Haneul > SOIS CONTENTE HEIN et c'est bien si t'assumes
Haru > ALLONS Y embarquons pour le monde imaginaire !! Hahaha XD tu m'étonnes ! ses braaas.... jpp ses bras Bon alors si tu vois ça comme un bon problème c'en est un bon haha ! Non j'en aurai pas marre de toi chou, jamais D: t'es mon tit chou !! Ouiiiii fufu
PAS QU'UN PEU D: la meilleure chute de l'histoire de la chute !
AU FOND D'UN TRAIN OU DANS UN VIEUX GRENIEEEEER (faut pas me lancer je saute dedans à deux pieds jpp) grave xDD pauvres grens surtout ! ce sont eux qui vont en avoir marre en fait ! OUIII UNE LICORNE PANDA HAHA XD
That's my job : Serveur dans une café du type Starbuck / & Etudes de danse/mannequinat
That's where I live : Dans un p'tit appartement, avec deux chats. Je vais finir vieille fille - au masculin pleaz - il parait.
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Sam 6 Jan - 20:34
Moi j'retiens surtout qu'il est bisexuel pleaz ! Ca c'est du beau gosse à se mettre dans la main, comme un bon pamplemousse, bien acide et juteux, wesh, je sens monter en moi cte frétillant d'impatience !
L'histoire l'histoire l'histoire, père Castor, raconte-nous une histoire, père castor, met tes lunettes et lis-nous touuuuuut J'veux connaître dans quel sadisme pur tu vas le balancer aux p'tits oignons, à quel titre de beau gosse il va se transformer en briseur de coeur - parce qu'un beau gosse ça brise des coeurs c'est o-bli-gé ! - Bref, vas-y cueille les fleurs de la vie, balance ta joie de vivre, offre nous des cookies et je te veux dans mon lit
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That's where I live : Juhei
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Sam 6 Jan - 20:49
Ouais moi je débarque après la guerre mais no shaaaaaame En plus je l'ai aussi eu dans la tête cette put**n de chanson xDD
Mais sinon rebienvenuuuuuuuuuuuuuue
Fight pour ta fichette !!! J'ai hâte de lire parce que je sais déjà tout ce qu'il va se passer et que ça promets Il nous faudra des liens again, papa Tetsu prendra soin de toi tu verras
That's my job : Etudiants en lettres + caissier dans un konbini
That's where I live : Juhei
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Sam 6 Jan - 21:06
Jin > ... c'est le détail le plus important !? D: quand je disais que ton profil t'allait bien tu vois, je racontais pas n'importe quoi !
Le Père Castor dort donc il raconte pas d'histoires ce soir cela dit l'histoire de mon ptit Aoki est postée haha ~ enjoy Han, j'espère que tu ne vas être déçu alors Quelle bien poésie, j'en suis éblouie !
Tetsu > OUIII LE ROI LIOOOON J'suis même pas désolée tsais quoi
Merciiiiiiiiii ** J'ai fini mwahaha ! Fière je suis. J'ai un peu galéré à débuter mais... j'ai réussi ! Et awww ça me fait plaisir !! J'espère que l'histoire entière te plaira fufu :3 Ouiii papa Tetsu omg
Je sais pas trop, t'aurais un plan ? j'me perds parfois ... *pan*
Merci fufu !
Yamazaki Haruka» Completely in love of Kei, c'est pas sain !
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Sam 6 Jan - 21:43
COmme la femme horrible que je suis je pensais avoir répondu.. J AVAIS repondu mais ça a disparu je crois.. ou alors c'était dans ma tête
OUIIII !! Je m'envole je m'envole on s'envole !! Haha ils sont à toi de toute façon ses bras
HAnn c'est trop mignon et j'espère que c'est vrai On va faire pleisn de bébés !!!
COMPLETEMENT.. l'histoire de fifou, mais elle est vraiment bien celle là même si tu sais que je veux pluerer xD
HAHAH LA VIE SE RACONTE EN MUSIQUE MUSIIIIIQUE ( cool allons y gaiement !! ) Heu oui.. peut être.. je sais pas.. LOVE
Même si je connaissais l'histoire bah quand même triste okay le pauvre omg :( On l'aidera à remonter la pente !! \o/ aller fiston, vient voir daddy, je vais te couver moi tu vas voir
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