Kang Jun Yeong "You must think to yourself before others"

The beginning :
Tu es née le fameux matin du 23 juin de l'année 1990, déjà très bruyant pour un nourrisson à peine sorti du ventre de sa mère. Ta mère te portait déjà dans ses bras, t'embrassant sur le front, fière d'avoir un petit garçon comme elle le souhaitait. Ton père, lui, n'était pas venu te voir car son travail l' obligé à rester dans son entreprise, ce qui avait déçu ta mère en ce jour important.

Your child life :

Dès ta plus tendre enfance, tu ne manquais de rien. Il faut bien avouer que ta famille était riche, de ce fait tu étais plutôt bien gâtée. C'est ce qu'une personne extérieure pouvais croire en ne voyant que le compte en banque de ta famille. Mais la réalité était bien différente. Ta mère était très exigeante, tellement que tu en as souffert. Elle n'arrêtait pas de te punir parce que tu avais des amis à l'école, ou que tu rêvais de faire un métier soit disant « pour la classe inférieur ». Ton rêve de gosse était d'être pâtissier mais c'est sans compter sur ta mère que tu devais absolument devenir un patron de société. Tu devais aussi toujours avoir plus de 18 de moyenne dans chaque matière sous peine d'être sanctionné. Tu devais aussi passer tout ton temps libre à étudier sans relâche, il n'y avait aucune place pour l'amusement dans le monde que ta mère t'avait construit. Elle te comparait très souvent à ton père, c'est comme ça que tu t'aperçus que tu n'étais que l'objet de sa vengeance sans en savoir le motif au départ. Dès que tu devais sortir avec des personnes qui t'ont invité, ta mère te criait souvent « Ce n'est pas les autres qui vont te donner ta carrière, ils ne cherchent qu'à profiter de toi. Tu n'as absolument pas besoin d'amis, ça ne sert qu'à mieux te trahir. »
Que pouvais-tu faire à cette époque à part écouter ta mère ? Tu n'avais que 8 ans. Elle avait réussi à enseigner ses « leçons » : ne fais confiance qu'à toi et toi seul.

Your hell :

Après une enfance qu'on pourrait qualifier de difficile, tu es entrée dans la période de l'adolescence. Tu as commencé à comprendre beaucoup de chose, surtout les dires de ta mère. Tu les as appliqué parfaitement. Mais c'est aussi la période où on découvre son corps et celui des autres. C'est là également que tu as commencé à sortir avec plusieurs filles de plusieurs établissements en même temps après avoir découvert que ta mère et ton père n'était aucunement fidèle l'un à l'autre. Tu t'es donc dis que l'amour n'était qu'une illusion qui pouvais rendre fou. Tu sortais avec ces filles sans aucun réel sentiment, mise à part le besoin de te prouver fort et dominant. Un besoin que beaucoup d'hommes ont à cet âge là. Tu avais aussi d'excellentes notes malgré tout, ce qui fit plaisir à ta mère, sa vengeance étant que son fils surpasse son père. Tu l'avais deviné alors quand tu as su qu'il n'était point fidèle et donc expliqué ta photo de naissance sans lui.
Au lycée, tu commençais à beaucoup t'ennuyais des filles avec qui tu sortais depuis le collège. Pour palier à ce soucis, tu les plaquais les unes après les autres et alla chassais des nouvelles cibles bien plus amusantes. Tu avais donc eu pris cette habitude avec la gente féminine, dès que ça devenait ennuyant tu les plaquais et en retrouvais une autre avec qui sortir.
Bien sûr, tu avais toujours d'excellentes notes mais tu te fichais à présent de ta mère et de ton père. C'est ce qu'elle t'avait appris, ne penser qu'à toi, donc tu le ferais sans soucis.


The crisis :

Le début de la crise, cette crise que personne ne put prévoir. Partout tout le monde avait perdu beaucoup, beaucoup d'argent. Et dû à cette crise ré apparu ce qui devait avoir disparu, le trafic d'humains. Et tes parents y était impliqués, voulant acheter une servante pour ta famille. Ils cherchèrent partout, examinant chaque filles eux même, pour trouver la perle rare. Toi tu fus attiré par une, tu avais expressément demandé à l'acheter. Cette petite fille avait un bon prix. Elle se présenta comme Park Hye Ji. Finalement ta mère et toi êtes restés au Japon avec Hye Ji qui effectué donc les différentes tâches. Et tu commençais déjà à vouloir la séduire, lui faisant des avances pendant son service, à lui sortir des mots doux. A également la protéger des mecs qui essayaient de trop se l’approprier. Tu faisais tout pour elle juste pour qu'elle te tombe aussi dans les bras. Tu la voyais dans ses pires moments comme dans ses meilleurs moments, tantôt tu l’écoutais et la consolais, tantôt tu la faisais sourire. Elle t'avait appris à cuisiner, tout comme tu l'avais fais sortir dans Tokyo avec toi. Toi et elle vous étiez bien plus que de simples amis, vous sortiez ensemble. Mais elle n'était pas au courant de tes jeux avec les autres. Jeux que tu as cachés pendant longtemps avant qu'elle le découvre...A ton plus grand malheur. Elle t'avait écouté au téléphone avec une autre de tes nombreuses conquêtes. Et ceux qui devait juste être des paroles en l'air pour continuer ton jeu avec l'autre fût prise au sérieux par Hye Ji. Et n'ayant plus d'option de jeu, tu avais dû donc lui donner le plus beau sourire carnassier que tu avais avant de lui balancer que jamais tu ne tomberais amoureux d'une pauvre, les pauvres devaient rester à leur place et qu'elle devait t'en être reconnaissant. Finalement elle partit les larmes au yeux, déçu par toi. Elle s'était enfui pendant la nuit, au début cela ne t'avait rien fais mais finalement au fur et à mesure un sentiment indescriptible commença à s'installer à toi. Mais personne ne devait savoir tes points faibles.

Gensou

Tu avais beau avoir cherché partout dans le Japon, jamais tu ne l'avais retrouvé. Tu étais en colère et blesser que ce qui t'appartenait s'était enfui. Tu avais encore plus redoubler de petites amies pour combler ta colère et te forger un masque encore plus résistant. Et un jour, on te mit au courant de cette île, où la crise ne l'avait point toucher. Tu avais réfléchis que peut être Hye Ji pouvait se trouver là-bas, si tu ne l'avais pas retrouvé dans tout le Japon, c'est qu'elle n'avait pas dû allait bien loin sans argent. Tu t'étais même dis que tu pourrais sûrement la ramener à toi, elle qui t'appartient. L'idée qu'elle soit avec un autre te répugnait énormément. Tu ne voulais pas qu'elle refasse sa vie avec un autre. Et tu allais la ramener à toi. Peu importe ce sentiment, elle était tienne et c'est tout.
Et c'est comme ça que tu avais décidé de la retrouvé sur cette île à bord de ce bateau.